Acte 2 scène 4 - histoire d'en rire

"Dis raconte moi une histoire."
En parlant fort, sans les mains, sans les gestes, sans les mimiques. Pfff ...
Vraiment tenté de se rassurer, de "pré-inventer" vite fait un carcan d'histoire
Peur que notre cerveau passe en mode "vide sidéral" !
Il faut donc arriver à se laisser porter par son imagination et accepter la frustration de ne pas regarder l'autre jouer ce qu'on est en train d'inventer ...
Alain frappe fort en servant sur un plateau des émotions à une variété d'actions. Thierry se régale ... et nous aussi !!
Purée renversée, souris piégée, légumes en souffrance, drôles de contractions, accouchement pompier, vieille moche sur roue, ouverture d'un salon de coiffure, la mercedes du banquier ...
: timbre de voix, déplacements sur scène, écoute présente, expressions, drôle ...
  :  si l'histoire "cale" s'approprier le sentiment ou contexte et continuer à jouer en suivant le fil jusqu'au "redémarrage"
pour le conteur, s'appuyer sur les émotions et enrichir l’histoire et les personnages pour aider le mime

Le "mime arabe"
Le principe du jeu du téléphone arabe appliqué au mime
6 et 3 actions (de + de 10 secondes)
8 et 4 actions avec des émotions (de - de 10 secondes)
Repasser, même si la manière diffère, comme tuer ... assez repérable et bien transcrit
Mais l'escalade se transforme en basket et la pétanque en bowling
Écouter à plusieurs, c'est compliqué. Plus que le fil à suivre c'est l'interprétation toute personnelle qu'on colle à un geste ... mais qui n'a pas le même sens pour l'autre.
Cascades de rires.

Un partage de restes .. mais pas que ...

On n'a toujours pas trouvé le nom ....