Couvertures, quelques pincées de complicités,
évacuer la journée … pas l’énergie
Évident comme ceux qui sont déjà passés par
là semblent plus à l’aise
Ce n’était pourtant qu’une séquence. Intense.
La relaxation coule de source, près du Robec ...
Présentation pour celles qui commencent
aujourd’hui.
Tonalité rire et bonne humeur
Envie de continuer pour d’anciennes paranos, entre
une digression sur le pudding ou le boisvinette et des sourires
Simple et directe, avec un rebond de prénom
Une discrétion et une entrée sur le bout de
pieds
Une (re)présentation
Contraste entre manque de confiance en soi et
surdose parfois affichée.
Difficile même quelques heures après de traduire
la substance
Enlever un masque n’est pas toujours naturel
C’est clair, oui, on comprend de mieux en
mieux que les silences sont parlants.
On apprend en regardant.
Le ton est donné.
Oui, c’est à la fois si simple et si puissant
tout porte à réflexion
et même cette perception sans séquence
émotion
permet d’avancer
Même sans se livrer, on apprend à se
connaître
Des interrogations naissent,
Isa est à l’écoute
On peut laisser planer nos doutes.
Ce n’était pas le moment de s’y arrêter.
Pas besoin de tout exprimer, juste écouter.
Le ton est donné.
C’était très juste, ce que tu as restitué,
Franck.
Imaginamime
Ou comment prendre conscience en accéléré de
la nécessité de se « laisser aller »
un combat entre l’imagination spontanée et le
besoin qu’on se crée d’ « attaches » à un semblant de
préparation
pour se rassurer ? par crainte de
dériver ? d’être jugé ? du
ridicule ? tout simplement par le peu de place au quotidien à privilégier
les idées farfelues et les délires ?
Il semble qu’on a tous des barrières à faire
tomber, même si ce ne sont pas les mêmes.
Difficile de décoller dans l’imaginaire. Un
peu terre à terre. A moins qu’une fusée …
Ce n’est qu’un début et il y a eu …
Il suffit juste de le dire pour que le
sourire disparaisse et que les émotions transparaissent.
Il est déjà tellement naturellement
« dedans », forcément on se régale.
On pouvait la croire discrète et un peu
timide, elle se révèle drôle et à l’aise.
La deuxième séance et elle se dépasse déjà en
affrontant la scène, résistant à l’envie de se cacher.
Elle, elle mime en finesse, en détails et
c’est très drôle.
« On n’entend pas avec ses yeux »
« Une
gueule d’enfer » après le mouton l’imitation mortelle du poisson
Une métamorphose dans la diction et le jeu,
partagée entre le rire et le plaisir.
C’est impressionnant comme on peut vite
progresser au théâtre.
Nous guider, et surtout comme toujours
proposer une solution, une possibilité quand on n’y arrive pas
En moins d’un an, ou une deuxième séance. Si
on lâche prise ….
Passage de relais
histoire de préférence absurde ou déjantée en
consigne
ensemble de la poulette au coq, plus ou moins
castré, plus ou moins oublié
plutôt l’illustration de comment progresser
grâce à nos erreurs
flagrant
le deuxième passage était différent
Les indications et interventions sont
toujours justes.
un cochon d’inde réaliste.
le silence
la tragédie
un duo entre un lampadaire et son chien
surtout un moment très fort avec la fuite de
l’environnement mort, l’avion qui embarque, ces gestes justes et forts
Il est question de « ridicule »
Un frein pour certains, dépassé pour d’autres
Des images surgies d’un film. Un fil rouge
avec l’an dernier, le conte …
Des apparences tordues dans tous les sens et
maniées dans une diversité de maux
toute la relativité et l’intérêt de briller …
même au siècle des lumières
C’est peut être aussi un peu ça le théâtre
Une éponge pour absorber les émotions et
ressentis
Transmission d’une passion
Écouter vraiment
Séverine
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